Quelque temps plus tard, le vieil homme s'approche sliencieusement de la jeune femme. Après l'avoir observé quelques instants, il surgit, sa main droite, agile comme une serre, se resserant autour de son cou. Il presse doucement la carotide. Son autre main, rapide, s'empare du bras de la jeune fille. Il le tourne, puis le tire : elle est complètement immobilisée.
"Très bien, gamine. Tu vas m'suivre et j'vais t'apprendre la politesse, moi. On n'insulte l'vieux Cazaril impunément."